Imaginez une pièce de théâtre écrite pour notre époque. Le texte : une simple série de liens sur quelques pages A4. Des liens Facebook, Twitter, Google ou autre. Imaginez, de liens en liens, ce serait plus de 500 millions de personnages. Autant de scènes que de sites internet. Un petit texte pour le théâtre global (entendez de la globalisation – Atlas et ses deux jambes : réseaux Internet et aériens), signant la fin du théâtre du globe (et de ses deux piliers : livre et architecture).
Emmanuel Guez, 24 juillet 2010.